La devise de ce blogue est gravée dans le marbre :
LIBERTE, RESPONSABILITE, DIGNITE et MORALITE.
- Liberté d’aborder tous les sujets d’intérêt général.
- Sur le fond, l’expression publique d’idées impose la responsabilité.
- Sur la forme, elle doit respecter la courtoisie et la dignité sans négliger…l’orthographe.
- Enfin, la morale naturelle, fondamentale, si décriée par l’individualisme et le relativisme à la mode, reste le socle de toute vie en société civilisée.
Mais la forme de ce blogue est malléable, donc améliorable par ses lecteurs.
- Ouvert à tous ceux qui feront seulement l’effort de s’inscrire ( nom et adresse courriel ) sur le réseau de sympathie..
- Editorial mensuel pour laisser du temps à la réflexion et à l’élaboration d’une discussion, de commentaires ou de critiques argumentés et éventuellement documentés..
- Francophone de préférence, mais ouvert à l’anglais et à l’espagnol.
- En quelque langue que ce soit, la formulation de la pensée doit s’adapter à son vecteur, le média qui ici impose concision, précision et clarté.
La pensée unique et obligatoire n’est que le reflet lustré et normaté des souhaits et illusions de la "nomenklatura" de notre pays. Figée dans son bien-être matériel, malgré ses échecs, ses incohérences et souvent son absurdité, cette minorité puissante est incapable de convaincre ou d’enthousiasmer la majorité apathique de nos concitoyens. Alors, elle se raidit et devient oppressive par le verbe.
Mais les étincelles de bon sens grattées contre ses bottes la terrorise car elle craint, dans notre situation instable, les départs de feu !
Pour lancer le mouvement, dés septembre, nous ferons l’analyse et la critique du roman futuriste de notre coordinateur : « La croix du Nord », récemment paru chez L’Harmattan. Pour bien comprendre ce titre, il faut avoir présent à l'esprit le dicton itaien : « Dans une procession il y a ceux qui chantent et ceux qui portent la croix. »
Comment peut-on envisager notre société en 2020 ? Question éminemment importante pour les jeunes français. De sept à soixante-dix sept ans !
Jean-Pierre Bex
