vendredi 31 octobre 2014

Article GIPSE. Supposition : La catastrophe est là.

Pour bien situer cet article, qui figure dans les réflexions du GIPSE, il faut avoir lu les précédents.
Quelle que soit l'étincelle qui déclenchera la catastrophe ( mort d'un manifestant attribuée aux forces de l'ordre, accident de la route dans une banlieue attribuable aux flics, crise financière imprévue ou soigneusement dissimulée, sortie de l'UE du Royaume Uni, voire élection à la Présidence de la République de Marine Le Pen...), cette "cata" associera à des degrés divers, échelonnés sur une période de quelques semaines, les éléments suivants :
- des troubles sociaux graves (manifestations brutales, pillages, casse...) voire descente de la racaille de partout et des banlieues notamment sur les centres villes. Organisation de milices de défense. Ambiance de guerre civile, vols et agressions voire meurtres... Incendies de bâtiments publics. Invectives à la télé.
- des grèves de protestation ou d'assentiment paralyseront le pays et notamment son approvisionnement. La réserve de nourriture pour Paris ne dépasse pas quelques jours !
-   Après avoir hésité entre la fermeté et le laxisme, l'autorité politique sombrera rapidement, surtout avec les pantins indécis qui nous dirigent actuellement, et sera obligée d'appeler l'armée à la rescousse de la police débordée. Tout ceci entraînera la panique dans la population et la peur dans le monde financier : fermeture des banques, distributeurs de billets vides. Chute brutale de la Bourse. Les pompes à essence seront prises d'assaut. Depuis Bruxelles, la Commission Européenne abreuvera les Français, par l'intermédiaire des médias, de paroles et de messages lénifiants : soyez responsables, arrêtez de tout casser, voici quelques crédits exceptionnels pour calmer les plus enragés...
- La machine sociale s'arrêtera de fonctionner à l'exception des médias, ravis de trouver du grain à moudre et quelques lecteurs ou téléspectateurs, s'il y a encore de l'électricité. A un moment ou un autre, l'armée, sous la forme de quelques officiers décidés, prendra le pouvoir en déclarant l'état d'urgence.

Abandonné par ses dirigeants, le citoyen lambda devra se débrouiller par lui-même dans la pagaille. Quelques conseils :
- Devenir frugal en limitant ses besoins au strict nécessaire. Le faire volontairement par sa volonté est moins douloureux que de le faire par nécessité !
- La vie se centrera sur les petits noyaux de survie : famille et vrais amis. Peut être les  voisins, mai on verra réapparaître les délations, dénonciations et autres stigmates de la jalousie et de la méchanceté, que l'on connait toujours dans les périodes difficiles. Un petit potager, quelques réserves et peut être un repli sur la campagne.
- Avoir une provision d'argent liquide en billets chez soi ou ailleurs mais, en tout cas, loin des banques qui seront fermées !
- Si la "cata"s'éternise, la possession d'or physique pourrait devenir utile.
Ces circonstances dramatiques permettront l'accession au pouvoir d'hommes forts et déterminés à tout changer. Pour le meilleur ou le pire. Ils pourront lancer très rapidement les réformes fondamentales qui seules peuvent redonner une chance à la France. Nous les envisagerons dans les prochains articles marqués GIPSE.
"Aux grands maux, les grands remèdes".  Shakespeare.
A ceux qui pensent que je suis fou, je conseille de revoir dans leurs livres d'histoire comment ont fini les quatre premières Républiques Françaises.

lundi 27 octobre 2014

Création du GIPSE : Générateur d'innovations politiques et de solutions économiques.

Le GIPSE est né. Nous allons, dans les prochains articles, franciser la notion de "think tank", sur le mode décoiffant. Il n'y a aucune raison pour que le maniement d'idées vraiment innovantes reste l'apanage des anglo-saxons ou des officines de gauche.
Voila une entreprise courageuse : donner des idées à la vraie droite !!
La situation politique, économique et sociale est tellement dramatique en France et dans le monde que l'on peut garantir la survenue prochaine d'une "étincelle" (troubles sociaux, faillite du système, écroulement monétaire mondial, guerre civile larvée...) qui déclenchera un tremblement de terre social dans notre pays. Demain ou dans deux ou trois ans...
Personne ne peut dire quand elle surviendra, mais elle surviendra !
Tous les politiques "bien pensant" essaient de nous convaincre qu'elle n'arrivera pas et continuent à mettre des rustines sur une chambre à air qui est tellement usée qu'elle doit être changée. Ils extrapolent une courbe sociale. Quelle faute !

Je vous propose deux approches successives pour les prochains articles :
- D'abord, le tremblement de terre social arrive, il est là. Comment l'imaginer pour y laisser le moins de plumes possible ?
- Ensuite, les politiques de l'UMPS, comme dit Marine Le Pen, réussissent à gagner du temps et à retarder l'echéance de la catastrophe. Profitons de ce délai. "Encore une minute, Monsieur le bourreau !"
Envisageons des remèdes de cheval, considérés auparavant comme irréalistes et surprenants, mais qui deviendront nécessaires et urgents dans la débâcle, pour reconstruire tout qui aura été détruit pendant la catastrophe.
"Créer, c'est désobéir aux règles établies." J.L Tixier-Vignancourt.

Deux commentaires pour les sceptiques :
- La pérennisation de l'état (politique, social, économique et financier) actuel est impensable à moyen ou long terme. Nous ne sommes pas encore sortis de la véritable dépression industrielle et financière (DIF) structurelle commencée en 2008 ( que certains optimistes, dont Hollande, appellent encore "la crise" croyant qu'elle n'est que conjoncturelle).
- "Quand la bouteille est pleine, tu ne peux pas la remplir de bon vin. Il faut d'abord la vider". Proverbe japonais.

mercredi 1 octobre 2014

Gestation du GIPSE. "Aux grands maux, les grands remèdes !"

Nos gouvernants ne veulent pas admettre que la situation de la France est dramatique. Ils utilisent encore le thermocautère sur la jambe de bois, les onguents, les pommades... Cela n'a aucun effet, mais ils persistent parce qu'ils ont peur de faire autre chose. Un médecin qui continuerait à faire des traitements qui foirent constamment serait immédiatement condamné. Heureusement les politiciens sont "responsables mais pas coupables", sinon les prisons seraient encore plus pleines, malgré Taubira ! Les nombreux politiciens repris de justice ou en passe de l'être  qui hantent les palais de la République, ont été condamnés au pénal pour manoeuvres délictueuseset non pas pour  leur responsabilité dans des fautes avérées.
Le gouvernement s'applique à augmenter le gazole de quelques centimes, enlève un peu des dépenses pour favoriser la famille, rogne sur ceci ou cela...
Le bateau coule et on arrange les bouquets de fleurs des salles de réception !
Les traitements médicaux palliatifs ayant échoué , il faut opérer, probablement d'urgence ! A titre de provocation (pour le meilleur !) je vous ferai bientôt la liste des opérations possibles pour sauver le navire France dans des articles étiquetés GIPSE. Vous saurez bientôt ce que veut dire cet acronyme. Bouclez vos ceintures, nous allons traverser des turbulences.