mardi 19 juillet 2011

Définition de la pensée correcte qui devient unique et obligatoire.

La pensée correcte est une idéologie élaborée par l'oligarchie dominante du moment pour imposer ses vues. Elle n'a rien de scientifique, ni d'objectif. C'est simplement un ensemble de souhaits ou de voeux pieux pour le temps présent et  futur et de jugements subjectifs sur le passé. Comme vous l'imaginez ces jugements irritent les historiens à qui il est interdit de remettre éventuellement en question, par des travaux objectifs, les dogmes intangibles protégés par les lois liberticides. C'est une reprise de la méthode Coué !
De nos jours elle prend des allures de nouvelle religion particulièrement intolérante.
Schématisons quelques uns des principaux points de cette pensée correcte.
Pour le présent et le futur : 
- Le concept de nation est dépassé et doit être supplanté par le mondialisme.
- La France est une terre d'immigration depuis toujours, dépourvue de culture autochtone propre.
- La diversité sociale doit être encouragée et le métissage culturel et familial doit se développer. L'anti-racisme est un devoir.
- Aucune distinction ni morale, ni sociale ne doit apparaître en fonction de la race, la religion, les préférences sexuelles... des individus.
- La famille et le mariage traditionnels ne doivent plus être la seule norme sociale.
- La permissivité morale ( pour la drogue, les autres sexualités, les comportements sociaux en général) n'a aucun effet délétère ni sur la psychologie individuelle ni sur l'équilibre social.
- La planète se réchauffe et c'est de la faute de l'activité industrielle de l'homme.
Pour le passé :
- La colonisation n'a eu que des effets néfastes pour les pays colonisés.
- La résistance en France a été seulement le fait des communistes et des gaullistes.
- Seule la gauche a été hostile au nazisme et la droite a volontiers collaboré.

Ces concepts à l'emporte-pièce comportent des îlots de vérité, mais aussi des océans de mensonges, de contre-vérités,de manipulations et d'absurdités. Les défendre dans un débat n'aurait rien de répréhensible, s'il était possible de le  appuyer sur des faits ou des vérités objectives et non de les présenter comme des dogmes autoritairement imposés. inversement, les attaquer devrait être permis sans risquer les foudres de lois abusivement répressives. Diaboliser ceux qui pensent différemment n'a jamais été propice à la recherche de la vérité.